20.08.2012

"Erfolgsfaktoren wirksamer Entwicklungszusammenarbeit" - Check against delivery

Mesdames et Messieurs, Je suis très heureux d’être parmi vous aujourd’hui. Et je ressens comme un grand honneur de pouvoir ouvrir, pour la première fois, la conférence annuelle de la coopération suisse au développement. Représenter la cause de la coopération au développement est une belle et noble mission. Mission publique par excellence, elle reflète les valeurs et les intérêts de la Suisse.

Cette année, vous avez choisi l’efficacité comme thème de cette manifestation. Question importante s’il en est, l’efficacité occupe aussi une place de choix dans le nouveau message sur la coopération internationale, sur lequel le Conseil des Etats se prononcera dans quelques semaines, en sa qualité de second conseil.

Mais que signifie l’efficacité dans la coopération au développement ? La réponse est simple : la coopération au développement est efficace si elle améliore durablement la vie des gens et leur offre des perspectives d’avenir. C'est-à-dire si elle a pour eux des effets tangibles et bénéfiques.

L’objectif de la coopération suisse au développement et du nouveau message sur la question est de réduire la pauvreté durablement, et donc efficacement, en aidant les populations à se tirer d’affaire par leurs propres moyens.

La coopération suisse au développement s’est donné une devise simple, mais importante : l’aide la plus efficace est celle qui devient inutile à terme.

Le programme Postcosecha en est un exemple. Entre 1983 et 2003, la Suisse a investi quelque 20 millions de francs suisses en Amérique centrale pour permettre à des artisans et des petits paysans de construire des silos en métal. Cette méthode de stockage permet de protéger les récoltes vivrières. Grâce à ce programme,

•        336 000 tonnes de céréales ont pu être stockées en toute sécurité;
•        un supplément de revenus de 100 millions de dollars américains a été généré pour 415 000 familles de paysans;
•        900 artisans impliqués dans la production de silos en métal ont réalisé un gain de 12 millions de dollars américains.

Voilà ce qu’on appelle aider efficacement les populations à se tirer d’affaire également par leurs propres moyens.

 
Mesdames et Messieurs,

Nous voulons agir avec la même efficacité et le même succès en tant que pays, notamment dans notre politique extérieure, qui constitue le cadre de la coopération au développement. Notre politique extérieure est efficace si nous réussissons à sauvegarder nos intérêts et à promouvoir nos valeurs.

Les valeurs et les intérêts sont le fondement de l’efficacité et du succès de notre politique extérieure et de notre politique de développement. La Constitution fédérale précise que la politique extérieure de la Suisse doit assurer son indépendance, sa sécurité et sa prospérité.

Notre action extérieure doit aussi promouvoir des valeurs, comme:

•        l’aide aux populations dans le besoin et la lutte contre la pauvreté, objectifs principaux de la coopération au développement;
•        le respect des droits de l’homme et la démocratie;
•        la paix et
•        la préservation de l’environnement.

Les principes qui fondent notre politique extérieure constituent un socle solide et indépendant. Aux principes traditionnels que sont la primauté du droit, l’universalité et la neutralité s’ajoutent ceux de la solidarité et de la responsabilité.

Ces intérêts, valeurs et principes assurent un cadre stable à la politique extérieure et aussi à la politique de développement.

Comme l’a dit Albert Schweitzer, celui qui a vu les plus pauvres parmi les pauvres se sent assez riche pour aider autrui. Cette phrase exprime l’idée de solidarité que la Suisse fait vivre dans sa coopération au développement, fidèle en cela à une longue tradition. Mais cet engagement sert aussi nos intérêts. La Suisse étant probablement l’un des pays les plus imbriqués dans les réseaux internationaux, elle se porte le mieux quand le monde autour d’elle va bien.

La coopération au développement montre de manière exemplaire comment des intérêts et des valeurs peuvent se conjuguer de façon cohérente, et donc efficace, pour former un tout. Elle est l’exemple d’un mariage réussi entre des valeurs et des intérêts.

Wie wirksam ist die Zusammenarbeit?

Meine Damen und Herren

Es gibt Stimmen, welche behaupten, dass die Entwicklungszusammenarbeit per se nichts bringt, also unwirksam ist. Die heutige Tagung will das Gegenteil zeigen. Sie steht unter dem Titel „Entwicklungszusammenarbeit wirkt“.

Wer hat Recht?

Ich bin überzeugt davon, dass die internationale Zusammenarbeit wirkt und erfolgreich ist. Dies unter der Voraussetzung, dass man bestimmte Grundsätze beachtet, auf die ich später noch zu sprechen komme.Die internationale Gemeinschaft ist sich bewusst, dass die Wirksamkeit eines der zentralen Kriterien, aber auch die Achillesferse der Entwicklungszusammenarbeit ist. So wurden mit den Milleniumsentwicklungszielen denn auch konkrete Ziele definiert und festgelegt, welche Resultate innerhalb von 15 Jahren – das heisst bis 2015 – erreichen will.

Die weltweiten Anstrengungen tragen Früchte und es gibt konkrete Resultate:

  • Weniger Frauen sterben bei Schwangerschaft oder Niederkunft, und die Kindersterblichkeit ging in allen Teilen der Welt stark zurück;Mehr Kinder besuchen eine Schule: drei Viertel der Kinder in Afrika und 90 Prozent der Kinder in Asien gehen heute regelmässig zur Schule;
  • Weniger Menschen stecken sich mit dem AIDS Virus an: Zwischen 1996 und 2008 konnte die Zahl der Neuinfektionen um 800‘000 auf 2.7 Millionen gesenkt werden;
  • In den letzten zwanzig Jahren haben rund eine Milliarde Menschen in städtischen und 700 Millionen in ländlichen Gebieten Zugang zu sauberem Trinkwasser erhalten.

Auch die Schweiz hat ihren Beitrag zu diesen Erfolgen geleistet:

  • In den schweizerischen Schwerpunktländern Tansania und Mosambik ging die Kindersterblichkeit in den letzten 10 Jahren um ein Drittel zurück, in Moldawien seit dem Jahr 2000 um 40 Prozent.
  • Auch das Engagement im Wassersektor trägt Früchte: Seit 2006 erhielten dadurch jährlich fast 400’000 Personen einen sicheren Zugang zu Trinkwasser und zu einer sanitären Grundversorgung.
  • Dank dem Schweizer Engagement in den Bereichen Privatsektorförderung, Berufsbildung und Finanzdienstleistungen konnte das Leben von vielen Menschen verbessert werden. Innerhalb von fünf Jahren

             - Erhielt fast eine Million Bauern und Kleinunternehmer Unterstützung,
             - 200‘000 Menschen bekamen eine berufliche Bildung,
             - und über 8,5 Millionen arme Haushalte, Bauern und Kleinunternehmen erhielten Zugang zu Finanzdienstleistungen und
               damit Zukunftsperspektiven.

Rund 3 Milliarden Franken zusätzliches Einkommen konnte so zwischen 2006 und 2010 generiert und 800’000 Arbeitsplätze geschaffen werden. Das ist Effizienz und Wirksamkeit: Die Hilfe hat sich vor Ort multipliziert und wirkt nachhaltig.

Meine Damen und Herren

Diese Beispiele zeigen: Entwicklungszusammenarbeit wirkt. Sie bewirkt, dass viele Menschen heute ein besseres Leben führen können. Die Verbesserung der Zukunftschancen dieser Menschen ist letztlich die Antriebsfeder unseres Engagements.

Dennoch ist noch nichts gewonnen. Im Gegenteil. Wir sind mehr denn je gefordert, Mitverantwortung zu übernehmen. Denn die Herausforderungen nehmen zu, vor allem wenn wir den Blick auf künftige Generationen und ihre Zukunftschancen richten.

Einerseits ist die Armut vielerorts nach wie vor gross: Weltweit leben immer noch mehr als zwei Milliarden Menschen täglich von weniger als zwei US Dollar und eine Milliarde Menschen sind nach wie vor unterernährt. Andererseits verschärfen sich die Probleme. Der Ressourcenverbrauch steigt stetig und die Grenzen des Ökosystems werden langsam aber sicher sichtbar.
 
Facteurs de succès d’une coopération au développement

Face aux problèmes globaux et dans un contexte de crise mondiale de la dette, et donc de raréfaction des ressources financières, il est impératif que l’aide parvienne là où elle est nécessaire et qu’elle ait un impact effectif.

L’efficacité est donc plus que jamais un facteur décisif de succès de la coopération au développement. La question centrale est moins de savoir combien d’argent nous y consacrons que de déterminer quels résultats nous obtenons. Par exemple, quand nous construisons une école, le succès ne se mesure pas aux dépenses engagées pour le bâtiment, mais au recul du taux d’analphabétisme. Ce qui compte c’est une école qui fonctionne, pas la simple existence d’un bâtiment.

Mesdames et Messieurs,

Comment assurer cette efficacité de notre coopération et comment l’améliorer encore ?

Il y a cinq conditions pour assurer une coopération efficace. Nous devons,

  • premièrement, cibler notre action sur les domaines de compétence de la Suisse, c’est-à-dire renforcer nos atouts;
  • deuxièmement, mener une action cohérente et intégrée;
  • troisièmement, exploiter les synergies et renforcer les partenariats;
  • quatrièmement, tirer les leçons de nos erreurs;
  • cinquièmement, donner à la coopération l’indispensable assise politique et sociale.

Bref en cinq mots : compétence, cohérence, partenariats, apprentissage, crédibilité.
 
En premier lieu, il a été question de renforcer les compétences et de tirer parti des avantages comparatifs. En matière de coopération au développement comme dans d’autres domaines, nous devons jouer de nos atouts. La compétence et l’expérience sont les conditions indispensables de l’efficacité. Sans savoir-faire, l’aide ne peut être efficace. Or, la Suisse dispose de ce savoir-faire et le met à profit dans des domaines comme l’éducation, la santé, l’eau et la promotion du secteur privé.

Par ailleurs, la Suisse veut contribuer davantage à la stabilisation de régions fragiles. C’est pourquoi le nouveau message sur la coopération internationale en fait une priorité. D’une part, parce que l’expérience montre que le revenu par habitant augmente rapidement lorsqu’un pays accède à la stabilité politique et économique. D’autre part, il est important de stabiliser des Etats et des régions fragiles afin d’éviter l’effet de contagion.
Forte de sa tradition humanitaire et de sa neutralité, la Suisse peut apporter ici une utile contribution. C’est un potentiel qu’il faut exploiter.
  
Un exemple d’actualité est celui de la Syrie. Il est urgent de briser la spirale de la violence et de mettre fin aux massacres. La Suisse se mobilise activement : d’une part, elle soutient le processus politique et elle lutte contre l’impunité. Nous recherchons le soutien du plus grand nombre de pays possibles pour une démarche auprès du Conseil de sécurité des Nations Unies afin que celui-ci défère le dossier syrien à la Cour pénale internationale. D’autre part, elle s’implique aussi dans l’action humanitaire, en aidant notamment les pays limitrophes à prendre en charge les réfugiés.

C’est ce qu’elle fait au Liban, par exemple, où elle soutient à hauteur d’environ 1,3 million de francs des communes et des familles pour qu’elles puissent accueillir des réfugiés syriens. Intitulé « Cash for host families », ce programme est efficace à de multiples égards. Premièrement, l’aide fournie bénéficie directement aux familles d’accueil. Deuxièmement, l’intégration des réfugiés dans la population est mieux assurée qu’elle ne l’est lorsqu’ils vivent dans un camp de réfugiés. Troisièmement, avec un coût de 170 dollars par mois, ce mode de prise en charge est nettement moins onéreux.

L’action menée en faveur des quelque 36 000 réfugiés syriens est pertinente et efficace. Par sa politique, la Suisse fait acte de responsabilité et de solidarité.

En deuxième lieu, il convient de souligner qu’une coopération efficace passe par une approche cohérente et intégrée. Comme je l’ai déjà mentionné au début de mon discours, la coopération au développement suppose l’intégration réussie de valeurs et d’intérêts. Dans la coopération au développement, différents champs thématiques allant de la lutte contre la pauvreté aux questions de primauté du droit et de démocratie, en passant par la santé, se fondent en un tout.

C’est pourquoi il est important de travailler selon une approche intégrée au niveau des pays et des projets. Il faut rassembler les différents instruments de la politique extérieure, comme la promotion de la paix, la coopération économique et la coopération au développement. Pour prendre un exemple concret, je voudrais évoquer ici le Myanmar, où la Suisse renforce son engagement ; elle y ouvrira une ambassade au mois de novembre. Nous misons dans ce pays sur l’intégration de toutes les activités dans une même enceinte, sans fragmentation des responsabilités. L’ambassade sera entièrement intégrée.

Cette approche intégrée est également appliquée dans le nouveau message sur la coopération internationale. Pour la première fois, on a réuni dans un seul et même document tous les éléments et crédits-cadre de la coopération, la coopération au développement, l’aide humanitaire, la coopération économique et la coopération avec les pays d’Europe de l’Est. Un seul message pour un seul objectif : atténuer la pauvreté et réduire les risques mondiaux.

Par ailleurs, le message fait une large place à la coordination et à la coopération entre les différents départements et domaines politiques comme la politique migratoire. Ne serait-ce que pour rappeler l’importance de l’accueil des réfugiés dans les pays proches des crises, des pays d’accueil qui eux-mêmes sont pauvres. C’est une question qui est presque inconnue chez nous et qui pourtant concerne des millions de personnes : 80% des réfugiés de la planète sont accueillis dans des pays en développement et non dans nos pays occidentaux.

Il faut donc promouvoir et intensifier la coopération afin de rendre la politique extérieure suisse plus cohérente dans son ensemble. De la rendre encore plus efficace.
 
Meine Damen und Herren

Der dritte Punkt ist an sich sehr einfach, aber sehr zentral: Wir müssen zusammen arbeiten. Gemeinsam erreichen wir mehr als alleine, denn eins plus eins ergibt durch Zusammenarbeit mehr als zwei. Diese innovative Arithmetik gilt insbesondere in der Entwicklungszusammenarbeit. Deshalb müssen wir Partnerschaften pflegen und neue Partnerschaften eingehen, um wirksamer die Armut in der Welt zu bekämpfen.

Es geht darum, alle notwendigen Partner mit einzubeziehen: aus der Zivilgesellschaft, Regierung, Forschung und auch der Privatwirtschaft. Nur so kann eine optimale Gesamtwirkung erzielt werden.

Die bereits bestehende Zusammenarbeit mit der Privatwirtschaft, mit der Zivilgesellschaft und den Nichtregierungsorganisationen soll gestärkt werden. Dieses Wissen und diese Erfahrung müssen wir noch vermehrt nutzen. Das hier Potenzial vorhanden ist, hat auch das Parlament erkannt und eine intensivere Kooperation mit der Privatwirtschaft und mit Nichtregierungsorganisationen postuliert. Der Bundesrat unterstützt diesen Entscheid des Parlaments.

Die Zusammenarbeit ist allerdings nicht neu und es gibt bereits Beispiele für erfolgreiche Kooperationen. Ich erwähne hier stellvertretend das Beispiel der „Swiss Malaria Group“. In dieser Gruppe sind die Kräfte verschiedener Organisationen im weltweiten Kampf gegen die Malaria gebündelt. Ihr gehören unter anderem das Schweizerische Tropen- und Public Health-Institut, das Schweizerische Rote Kreuz, verschiedene Nichtregierungsorganisationen und Firmen an.

Viertens müssen wir aus Fehlern lernen und so die Wirksamkeit der Zusammenarbeit erhöhen. Das Mittel hierzu sind Evaluationen. Diese sind erstens wichtig, um ein einzelnes Projekt im Verlauf der Umsetzung anpassen zu können. Evaluationen sind zweitens für künftige Projekte wichtig. Aus gemachten Erfahrungen können wir Lehren ziehen.

Fehler passieren überall und somit auch in der Entwicklungszusammenarbeit. Es gibt kein Patentrezept gegen Armut. Was in einem Land funktioniert, muss nicht unbedingt in einem anderen Land funktionieren. Fehler sind erlaubt und wir müssen den Mut haben, Fehler zu machen. Denn nur so entsteht auch Innovation. Evaluieren heisst darum nicht, dass man keine Fehler machen darf. Evaluationen helfen aber, gemachte Fehler nicht zu widerholen und die Wirksamkeit zu verbessern.

Aber wie kann man Wirksamkeit messen?

Es gibt Dinge, die man einfach messen kann. Wir können beispielsweise einfach messen, ob eine neu gebaute Hängebrücke benützt wird und wirkt. Wir zählen einfach die Personen, die darüber gehen. Anspruchsvoller ist die Antwort auf die Frage, wie ein Brückenbau die Armut in der betroffenen Region mindern konnte.

Auch diese Frage kann mit Evaluationen beantwortet werden. Wir müssen aber aufpassen, alles messen und quantifizieren zu wollen. Darum sollten wir bei Evaluationen Augenmass und Vernunft walten lassen. Denn letztlich wollen wir das Geld für die Linderung der Not ausgeben und nicht für Expertisen und Evaluationen.

Dennoch müssen wir gegenüber der Öffentlichkeit nachweisen können, dass Entwicklungszusammenarbeit wirkt. Wir müssen Rechenschaft ablegen für die in diese Zusammenarbeit investierten öffentlichen Gelder.

Damit komme ich zur fünften und letzten Bedingung, der Glaubwürdigkeit. Politisches Handeln bedarf der Glaubwürdigkeit. Das gilt auch für die Entwicklungszusammenarbeit. Glaubwürdigkeit ist darum eine zentrale Voraussetzung für wirksames Handeln.

Gerade weil Erfolge in der Entwicklungszusammenarbeit nicht sofort fassbar und sichtbar sind, müssen wir sagen, was wir tun, weshalb wir es tun und auch darlegen, was wir erreicht haben und was nicht. Kurz: transparent und sachlich informieren.

Offensichtlich wissen die Menschen in der Schweiz über die Entwicklungszusammenarbeit Bescheid. Denn zwei von drei Schweizern unterstützen diese Zusammenarbeit und sind der Meinung, dass die Schweiz mehr für die Sicherheit und die Entwicklung in der Welt tun sollte. Die Schweizer Entwicklungszusammenarbeit kann also auf einen grossen und wichtigen Rückhalt in der Bevölkerung bauen.

Dass die Entwicklungszusammenarbeit gut verankert und legitimiert ist, zeigt sich auch daran, dass die Schweizer sich privat stark engagieren. Über 15 Prozent der gesamten schweizerischen Entwicklungszusammenarbeit entfallen auf Private, das ist ein internationaler Spitzenplatz. Die Schweiz ist Weltspitze in der Übernahme von Verantwortung.

Wir müssen dafür Sorge tragen, dass die Entwicklungszusammenarbeit von der Bevölkerung weiterhin getragen wird. Damit dies so bleibt, müssen wir dafür sorgen, dass die öffentlichen Gelder verantwortungsvoll und effizient – eben wirksam – eingesetzt werden.

Meine Damen und Herren

Wirksame Entwicklungszusammenarbeit ist möglich. Sie werden diese Feststellung heute anhand von konkreten Beispielen diskutieren.

Unsere Entwicklungszusammenarbeit ist ein Produkt unserer Werte und unserer Interessen. Sie ist, wie es Albert Schweizer formuliert hat, ein Akt der Menschlichkeit. Sie liegt aber auch in unserem ureigenen Interesse. Denn der Schweiz geht es dann gut, wenn es auch der Welt gut geht. Danke für alles, was Sie hierfür machen.


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Last update 29.01.2022

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